dimanche 3 juin 2012

La presse


E3 2012: Nintendo veut voler le show


Alors que la conférence officielle de Nintendo est prévue, comme à chaque année, pour mardi matin (5 juin). Soit, la journée après les conférences de Microsoft et Sony. Nous apprenons qu'une conférence surprise, Pré-E3, vient d'être annoncée pour ce soir 18 h (heure du Québec) sur internet. 

Cette conférence, préenregistrée, devrait apporter des lumières sur la Wii U, la nouvelle console du géant japonais, qui est annoncée pour la fin de l'année 2012.
Pour l'instant, nous ne savons pas si les jeux Wii U, seront abordés. Mais avec cette annonce-surprise, il est clair que Nintendo veut que tous les projecteurs soient dirigés vers sa nouvelle console cette année.
C'est un rendez-vous à 18 h à cette adresse:

samedi 19 mai 2012

Robotique domestique : les humanoïdes à notre service


Les recherches sur les systèmes d'intelligence artificielle et de perception du milieu environnant ont permis le développement derobots de communication humanoïdes, c'est-à-dire réagissant aux situations avec un caractère personnalisé.

 Le robot Pino, humanoïde
Le robot Pino, humanoïde. © (Symbiotic System project)
Ce dossier propose un tour d'horizon des robots humanoïdes. Après un historique présentant la genèse de ces robots domestiques, il vous présentera les prototypes Aibo, Asimo et Qrio notamment, qui ont révolutionné la recherche et le développement dans ce domaine. Au travers des partenariats public-privés, découvrez les travaux destinés à rendre ces robots plus humains, pour mieux nous assister.

Les nanotechnologies : espoirs mais aussi dangers !




CERTAINS PRODUITS ALIMENTAIRES CONTIENNENT DE "DRÔLES DE BÉBÊTES" !

Les nanotechnologies : espoirs mais aussi dangers !


QUE NOUS CACHE-T-ON ? ET POURQUOI ?

Nano= préfixe désignant la milliardième partie d’une unité. Les nanoparticules sont celles mesurant de 1 à 100 nanomètres. On les utilise dans divers domaines, appelés "nanotechnologies" qui révolutionnent déjà beaucoup de secteurs économiques. Mais elles ont un grave défaut. Elles sont si petites qu’elles passent à travers à peu près toutes les barrières des contenants pouvant les abriter et au delà peuvent se diffuser dans l’air, les aérosols, les liquides, les poussières, etc... On peut les inhaler, les boire, les avaler....et les retrouver dans n’importe lequel de nos organes....qui ne va pas forcément apprécier la cohabitation !

Les nanotechnologies, entre promesses et risques mal connus

L’utilisation de nano-structures se développe très vite, dans la recherche comme dans l’industrie. Riche de promesses en termes d’emploi et de profit, cette révolution industrielle n’est régie par aucun règlement spécifique. La surveillance de la santé des salariés est inadaptée et l’évaluation des risques très insuffisante. Etat des lieux..
A l’échelle de l’infiniment petit (1 nanomètre [10-9] est 30 000 fois plus fin que l’épaisseur d’un cheveu), les nanoparticules et les nano-objets développent des propriétés aussi fascinantes qu’inquiétantes et touchent aujourd’hui tous les secteurs d’activité, de l’électronique à la pharmacie, en passant par la chimie et la métallurgie.
Selon maints observateurs, ces propriétés exceptionnelles les placent au cœur de la révolution industrielle de ce siècle : On prévoit que les nanotechnologies généreront 1 000 milliards d’euros par an de revenu mondial en 2010-2015, contre 40 milliards en 2001 [1].
Tandis que vont bon train les recherches sur leurs prometteuses applications, on ne sait pratiquement rien de la toxicité des nanoparticules pour l’homme. Appelées aussi « particules ultrafines », elles ne sont pourtant pas tout à fait des « ultra-petites nouvelles » dans le monde du travail. Hormis celles qui sont manufacturées, comme les nanotubes de carbone, certaines sont des résidus de l’activité humaine : on les trouve par exemple dans les fumées de soudage, la minoterie, etc. D’autres enfin sont issues de processus naturels, rejetées par les volcans par exemple.
Certaines ont fait l’objet d’évaluations démontrant leurs effets délétères chez les personnes fragiles. Leur capacité de pénétration dans l’organisme, principalement par l’appareil respiratoire, est telle qu’elles sont capables de franchir les barrières biologiques et de migrer vers différents organes.
Et pourtant, les risques sanitaires que pourraient représenter les nanomatériaux n’apparaissent pas encore comme prioritaires : sur 1,4 milliard d’euros alloués par la Commission européenne aux nanotechnologies, seuls 38 millions sont destinés aux travaux sur les risques pour l’environnement et pour les opérateurs.
2Organiser une veille sanitaire2
Le Woodrow Wilson Center, aux Etats-Unis, a pour mission d’éclairer les choix politiques et les orientations scientifiques. Il a réuni dans une base de données quelque 350 études internationales concernant les effets de ces matériaux sur la santé humaine et l’environnement. « Il y apparaît un manque majeur en matière de sécurité au travail », souligne Benoît Hervé-Bazin, chargé de mission auprès de la direction scientifique de l’Institut national de recherche et de sécurité (Inrs), qui vient de coordonner dans un rapport les avis d’experts sur le sujet [2]. On retrouve la même indigence s’agissant de la surveillance de la santé des salariés.
« Il faut organiser une veille sanitaire associant les comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (Chsct) dans la recherche comme dans l’industrie. Et dès maintenant, pour avoir, si le besoin s’en fait sentir, des éléments pertinents », estime Jacques Borrel, secrétaire général du Speag-Cfdt, regroupant le personnel des sections d’entreprises implantées au Minatec, pôle d’innovation en micro- et nanotechnologies de Grenoble. Il ajoute : « Aujourd’hui, face au déficit de connaissances fondamentales, en l’absence de seuils et de normes, on développe des applications dans un cadre sanitaire inadapté. »

Science et technologie de l'environnement - ( enrichi ) -( MUL )








Présentation de la discipline


Le présent document apporte des précisions sur les connaissances inscrites dans les programmes de science et technologie au secondaire et sur leur progression d’une année à l’autre et d’un cycle à l’autre. Il vise à faciliter le travail des enseignantes et des enseignants au moment de la planification.

Rappelons que l’acquisition de connaissances ne suffit pas à assurer la progression des apprentissages des élèves. Ils doivent également apprendre à les utiliser dans des contextes variés et de plus en plus complexes. C’est en mobilisant de façon appropriée les connaissances, les techniques et les stratégies précisées dans ce document qu’ils développeront les compétences visées par les programmes de science et technologie. L’exercice de ces compétences entraîne l’acquisition de nouvelles connaissances qui permettent à leur tour de pousser plus loin le développement des compétences.

Afin de chercher des réponses ou des solutions à des problèmes d’ordre scientifique et technologique (compétence 1), les élèves s’approprient des stratégies et des connaissances, tant conceptuelles que techniques, qui leur permettent de bien cerner un problème, de l’explorer et de justifier leurs choix méthodologiques et leurs résultats. De même, c’est en s’appuyant sur les concepts et les principes scientifiques ou technologiques appropriés qu’ils peuvent comprendre des phénomènes, expliquer le fonctionnement d’objets ou se forger une opinion, mettant ainsi à profit leurs connaissances scientifiques et technologiques (compétence 2). Enfin, pour être en mesure de communiquer à l’aide des langages utilisés en science et technologie (compétence 3), ils doivent acquérir et utiliser les connaissances qui leur permettront d’interpréter et de transmettre des messages en se servant des langages et des modes de représentation propres à ces disciplines.

Au primaire, les élèves se sont familiarisés avec la science et la technologie et ils ont abordé des connaissances portant sur des phénomènes simples et observables de leur environnement immédiat. Au secondaire, ils poursuivent le développement de leur culture scientifique et technologique qu’ils ont amorcé au primaire et qu’ils pourront continuer d’enrichir ultérieurement. Au premier cycle, les connaissances portent sur des phénomènes de l’environnement naturel et construit qui rejoignent souvent les préoccupations des élèves. Au deuxième cycle, elles sont organisées autour d’applications liées à sept champs technologiques : les technologies médicales; les technologies agricoles et agroalimentaires; les technologies de l’énergie; les technologies de l’information et de la communication; les technologies des transports; les technologies de production manufacturière; et les technologies de la construction. Dans le programme optionnel Science et environnement, les connaissances sont organisées autour de deux problématiques environnementales sur lesquelles les élèves pourront être amenés à construire leur opinion, développant ainsi un nouvel aspect de leurs compétences disciplinaires. La réussite de ce programme favorise l’accès aux programmes optionnels Physique et Chimie offerts en 5esecondaire.

On trouvera dans ce document, regroupées dans des tableaux, les connaissances propres aux quatre univers présentés dans les programmes : l’univers matériel; l’univers vivant; la Terre et l’espace; et l’univers technologique. Chaque tableau est précédé d’un texte qui résume l’apport des connaissances qui y sont présentées à l’apprentissage de la science et de la technologie. Au début de chaque section, de courts textes rappellent l’essentiel des connaissances acquises au primaire sur le sujet traité1. Deux autres tableaux apportent des clarifications sur les techniques et les stratégies que les élèves doivent utiliser.

Les connaissances sont explicitées à l’aide d’énoncés qui illustrent le degré de complexité minimal visé et mettent en évidence la progression d’une année à l’autre. Dans certains cas, des précisions sur l’étendue des connaissances à aborder sont apportées entre parenthèses.

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